Pieds noirs comme le dernier des Mohicans


De Claude Garcia

Parce que l'Histoire a besoin de mémoires, et, que les mémoires sans histoire ne peuvent satisfaire la juste vérité.

« Il existait un “rêve oranais de la même façon qu’il existait un rêve américain, tous deux promettant aux malheureux et aux déshérités la terre promise ». (Alfred Salinas).

Ceux qui deviendront ultérieurement les Pieds Noirs auraient dû œuvrer pour avoir une terre selon le principe « d’un peuple une terre », en faisant d’Oran et de son agglomérions une république autonome, Comme le sont Gibraltar pour les Anglais en Espagne ; ou comme Melia pour les Espagnols au Maroc.

Nous étions une colonie de peuplement Venue peupler et développer un territoire, comme le furent la majorité des populations des autres pays du Monde.

L’utopie de l’Algérie Française et ses dérives, nous ont privés de développer une « conscience autonomiste ».

Notre manque de discernement, nous a conduit dans une lutte Franco/Française comme l’écrit l’historien Guy de Pervillé.

Notre seul pays était l’Algérie et plus précisément ORAN où nous aurions pu tous nous regrouper.

Ici en France, les Français nous refusent : la reconnaissance de nos souffrances, nous classant comme des fous, ou des fachos », avec ce slogan : Pieds Noirs = colons = OAS.

Comme les derniers des Mohicans, Les Pieds Noirs témoignent pour que l’avenir leur rendent justice.

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Livre numérique
2,99€
Publié le : 01/02/2024
ISBN : 9791040538547
Formats : PDF - EPub - MobiPocket
Livre papier
22,90€
Publié le : 01/02/2024
ISBN : 9791040538554
Formats : Broché - 156x234
Pages : 375

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Claude Garcia


Je suis né à Victor Hugo, quartier de l'extrême périphérie de la ville d'Oran en Algérie. D'origine espagnole, Je suis issu d'un milieu modeste d'ouvriers immigrés Andalous venus en 1841 chercher sur cette belle terre d'Algérie une meilleure vie.

Depuis mon rapatriement en France, j'ai appris beaucoup plus de choses concernant l'histoire de l'Algérie, que durant les 24 années passées là-bas.

Je ne suis ni écrivain, ni historien, ni philosophe, et encore moins un politique.

Mes universités c’étaient les rues de mon quartier Victor Hugo/Bastié d’ORAN.

Je ne suis qu'un humble ignorant qui a entrepris d'écrire ses mémoires à destination de ses petits-enfants et des générations futures, afin, de répondre le plus justement possible à leurs questions :

- Papi ! Tu es Algérien puisque tu es né en Algérie ?