En retraite depuis avril 2021, j'ai cédé au besoin de creuser mon délétère passé d'aîné élevé à la schlague par un père caractériel. D'où une timidité maladive : forcément, j'avais tout intériorisé!
Période infernale résolument coupée à vingt ans. Mais ce père jamais revu ensuite n'avait pas moins continué de sévir en moi...
Sous l’apparent désordre qui bouscule, voire parfois carrément malmène nos destinées, sexagénaire téméraire, je discernerais plutôt aujourd’hui comme une pointe de bienveillance à nous réorienter (notre raison étant habituellement assez myope).
Des phénomènes « anodins » pour ... Lire la suite
Très franchement, comment envisager sa retraite d’un cœur serein après plus de quarante ans passés en cage laborieuse devenue quasi une seconde maison ? Eh, tel le Chien de la fable de La Fontaine face à compère Loup, c’est que je m’y étais attaché, à mon collier municipal.