
0 Commentaires Voter / publier un commentaire
Antoine, le fils, est regardé comme un être étrange : il ne se soucie jamais du lendemain mais se dévoue corps et âme pour tous ceux qui croisent son chemin.
« Ma vie, c’est justement ça : aider les papillons à s’envoler en y trouvant moi-même un intense plaisir. »
Jean, le père, a él ...
En lire plusAntoine, le fils, est regardé comme un être étrange : il ne se soucie jamais du lendemain mais se dévoue corps et âme pour tous ceux qui croisent son chemin.
« Ma vie, c’est justement ça : aider les papillons à s’envoler en y trouvant moi-même un intense plaisir. »
Jean, le père, a élevé seul ses deux garçons après le départ d’Annie, leur mère, artiste fantasque et dépressive.
Jean s’inquiète pour Antoine, Antoine s’exaspère, Antoine admire Jean, Jean admire Antoine.
Dans ce roman, on suit le cheminement d’Antoine qui veut rejoindre ses frères humains dans ce qu’ils ont de plus fragile, se dépouiller de son ego pour n’être qu’ouverture et accueil aux autres.
Quand il part, son frère, Fabien, dit : « Il va rencontrer d’autres gens et éclairer un peu leur chemin. Comme une luciole. »
(−) RéduireNée en 1966, à Lille, Angèle-Berthe Benarts n'avait jusqu'alors écrit que des tracts pour la lutte syndicale ou politique, des poèmes par amour ou par rage, des discours et des comptes-rendus parce que ça faisait partie de son boulot. Dans ses romans "Ce que pèse une âme" et "Comme une luciole" , les êtres n'hésitent pas à "jeter leur vie toute entière sur la grande balance du destin", par amour, par conviction. Enhardie par les retours sur ses premières oeuvres, elle a publié en juin 2020, sous son vrai nom, Isabelle Vandiedonck, un recueil de 16 nouvelles "des nuages, des oiseaux et les larmes des hommes".
Je découvre l’auteur