Printemps 2020 : la France, comme la plus grande partie du monde, fut plongée dans le confinement suite à une pandémie plus connue sous le nom de « Covid-19 ». Il aura fallu cette dernière pour que nous réalisions enfin l’impasse dans laquelle nous avait mis la mondialisation ultralibérale qui s’imposait à l’ensemble de la planète. Les conséquences économiques, et donc sociales, furent bien entendu dramatiques. Ce virus n’aura pourtant fait que précipiter ce qui était malheureusement prévisible : l’effondrement d’un système. Depuis la fin de ce qu’on appela « les Trente Glorieuses », la France était en effet bien malade. Tout comme un certain nombre d’Etats européens, elle était devenue un pays décadent dominé par la pensée unique, rongé par les inégalités, une immigration incontrôlée, une délinquance de plus en plus sauvage ainsi que la présence d’un Islam de plus en plus radical qui avait réduit notre espace de liberté. A la crise économique et financière qui éclata après le « Covid-19 », la plus grave de notre histoire contemporaine, il faudra attendre une attaque terroriste islamiste, d’une ampleur telle que la France n’avait alors jamais connue, pour que le peuple français décide enfin de reprendre en main son destin. Se joindront à lui les autres peuples européens touchés par les mêmes maux. Unies pour la première fois de leur histoire, l’ensemble des nations européennes vont alors lutter pour assurer la renaissance de l’Europe.