À vrai dire, j’ai développé un projet en Mai 2018 quand j’ai vu mon addiction au web dont Facebook se confirmer sérieusement.
Quitte à devenir accro autant garder toutes mes traces de toxico digital et en réaliser un journal m’étais-je promis.
Jamais je n’ai été dupe du dispositif neuro-scientifique sciemment mis en place par les dirigeants de ce groupe notamment via les icônes.
Un système qui a été dénoncé publiquement par certains de ses ex-cadres.
Engagé volontaire, j’ai essayé d’en extraire le meilleur parti.
Avant tout celui de pouvoir générer des textes aussi clairs que possible.
Amoureux des grands journaux d’écrivains, je ne pensais pas à l’origine déclencher les intérêts de quelques sympathiques lecteurs au cours des mois.
Faut dire comme on dit que je n’ai pas ma langue dans ma poche.
Ça a l’air de plaire.
Non, je ne vous dirai pas ou elle est, bande de pervers.
Nous sommes comme souvent en pleine contradiction, nous utilisons avec plaisir un outil que nous dénonçons asservissant !
Là-dessus s’est greffée une actualité imprévue riche en rebondissements plus ou moins glauques.
Sur 12 mois, mai 2018- mai 2019 les événements sociaux politiques français n’ont pas cessé de faire les unes de l’actualité.
Dans ces 270 pages, on en retrouve d’abondantes strates.