Après un ras-le-bol généralisé de sa vie parisienne, suivi d’une fuite dans les Vosges pour faire un break spirituel, Louise revient plus « attachiante » que jamais sur la capitale. Cependant, afin d’éviter de retomber dans le burn out, elle décide de ne pas retravailler et de faire une mise au point nécessaire, pour enfin se réaliser pleinement, ou, en tout cas, essayer de le faire.
Entre les séances chez son psy, son fiancé qui se repositionne dans le couple comme le « mâle alpha », les aléas de la vie, ses ami(e)s superficiel(le)s et déjanté(e)s, elle va devoir composer, pour ne pas se laisser emporter par le tourbillon de ses émotions.
Happhystérique se lit comme un journal intime dont certaines pages trop personnelles ou douloureuses auraient été arrachées par Louise elle-même.
À lire au cinquième degrés… ou pas… et à vous de lire entre les lignes, entre ses touches d’humour, sa folle rêverie et son phrasé sans filtre.
Alexy de Booj partage sa vision de notre société actuelle avec quelques touches d’humour, de l’exagération, et parfois avec une certaine acidité.
Ses personnages sont à la fois touchants et sincères, même s’ils frisent de temps en temps la caricature.
Une « comédie humaine » revisitée et excentrique où se côtoient divers profils aussi atypiques qu’attendrissants.
Vous pourrez ainsi y rencontrer une trentenaire au bout du rouleau et un brin alcoolique, ses amies futiles et délurées, des parisiens désabusés en recherche d’affection, des post-adolescents perdus et bien plus encore…
Après un plan de restructuration désastreux dans son groupe de cosmétiques de luxe, Louise est contrainte de quitter sa région, sa famille et ses amis pour venir travailler et s’installer à Paris.
Entre son nouveau travail, sa boss sadique, ses collègues perchés, sa coloc ... Lire la suite
Émilie et Thomas sont voisins depuis leur naissance, il y a dix-huit ans désormais.
Bien qu’ils aient fait les mêmes écoles et qu'à peine dix mètres séparent leurs deux appartements, ils n’ont jamais été si proches que cela et ne se sont échangés que des banalités.
Trop de choses les s ... Lire la suite