Une demi-vie rêvée


De Martine Berg-Candolfi

« Brandir le drapeau blanc et déposer les armes pour échapper à la noyade.
Renoncer à l’identité à laquelle elle m’a soustraite. Accepter de vivre avec La Chose.
Découvrir ce qui reste de moi. Me réinventer d’autres plaisirs.
Faire de ma demi-mort une demi-vie. Ce sera ça ma victoire. »
Martine Berg-Candolfi souffre d’encéphalomyélite myalgique, une affection chronique complexe qui provoque entre autres une fatigue intense, des troubles cognitifs, des douleurs musculaires et articulaires. Martine n’est pas née ainsi : fauchée en plein vol par la maladie, elle doit apprendre à cohabiter avec La Chose qui s’est invitée en elle.
D’une plume poétique et aiguë de sincérité, elle retrace son parcours médical et spirituel en donnant une voix à sa souffrance et à son espoir lancinants. Si renoncer est tentant, si le combat est destructeur, vivre – même à moitié – reste une perspective lumineuse au bout de ce long tunnel sombre.
Autofiction tout en clair-obscur, Une demi-vie rêvée célèbre l’enfance, la liberté et la vie dans tout ce qu’elles ont de cathartique.
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Livre numérique
3,99€
Publié le : 12/07/2022
ISBN : 9791040510185
Formats : PDF - EPub - MobiPocket
Livre papier
19,90€
Publié le : 12/07/2022
ISBN : 9791040510192
Formats : Broché - 140x216
Pages : 267

Martine Berg-Candolfi


Martine Berg-Candolfi est née à Metz en 1965. Après avoir obtenu son doctorat en biochimie clinique à l’université de Strasbourg, elle a vécu deux ans aux États-Unis dans le cadre de son post-doctorat à l’université de Californie de San Francisco, avant de rentrer en France. Sa carrière se partagea entre la recherche biomédicale pour l’industrie pharmaceutique chez Pfizer et GlaxoSmithKline, l’administration scientifique au Département de la qualité du médicament de la Pharmacopée européenne et le management de la qualité aux hôpitaux universitaires de Strasbourg. Sa vie bascule lorsqu’elle est touchée par une pathologie chronique très invalidante, l’encéphalomyélite myalgique, qui met non seulement fin à sa carrière mais qui impacte drastiquement sa qualité de vie. Elle se met alors à écrire son premier roman sous la forme d’une autofiction, Une demi-vie rêvée, comme un exutoire, un kit de survie, mais surtout une ode à l’enfance, à la liberté et à la vie.