En observant les quelques gouttes de sang qui défiguraient sa page, Rose se mit à sourire. Elle ne pouvait s’en empêcher. Elle se disait que l’encre et le sang n’étaient pas si éloignés finalement. Avec l’encre on écrivait la vie, tandis que grâce au sang on la vivait. Elle connaissait le prix de la vie. Elle connaissait le prix du sang. Elle connaissait surtout le prix du renoncement… le plus élevé de tous !